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  Histoire  

Let's Docks, le festival de musique à Cahors est naît en 2015. Dans un salle culturelle de la ville, surgit une idée qui fera naître ce festival. 

En 1950, les Docks de Cahors existaient déjà. A l’époque, on y trouvait des sacs de riz, de sucre, de pâtes, un dépôt d’alimentation qui fournissait les restaurateurs locaux.

Aujourd’hui, son rayonnement est semblable à celui des années 50 ; un lieu au service de la population locale. Véritable temple des cultures urbaines, les Docks célèbrent l’expression des pratiques artistiques qui puisent leur inspiration dans l’espace urbain. Allant des musiques actuelles au graffiti en passant par le skate, la danse et le hip hop, les projets sont nombreux et réunissent de nombreux acteurs pour favoriser une nouvelle cohésion sociale dans un contexte convivial et dynamique. 

Le site des Docks est construit comme une toile d’araignée. Partant du centre, partant d’un esprit de partage,  de création, se dessinent les filières musiques actuelles et l’urban park.

Dans la grande salle de 600 places se côtoient des grands noms de la musique française et internationale et des artistes découverte.

 

Le café-concert le Docks’side peut accueillir 70 personnes pour des concerts intimistes en semaine. Il est ouvert en journée en véritable lieu d’accueil avec un bar à softs. C’est enfin un lieu de ressources pour toutes les personnes avide de connaissances plus approfondies sur les cultures urbaines. 

Trois studios de répétitions sont mis à disposition des musiciens amateurs et professionnels. 

Le skate park couvert de 600m2, avec sa quinzaine de modules, offre un espace de performances sportives et artistiques. 

Le graff park est un  lieu d’expérimentation libre, un réel champ d’expression visuelle pour les artistes en quête de reconnaissance. 

Une salle performances est enfin au service de tous, pour accueillir des stages et des ateliers de danse, de hip hop. C’est ainsi un lieu d’accueil pour les artistes. 

Pour découvrir les Docks, venez nous rendre visite !

  Le projet  

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En s’appuyant sur les « valeurs structurelles » défendues sur le site depuis son inauguration en mars 2000, le nouveau projet des Docks poursuit quatre objectifs généraux :

– Cultiver la diversité artistique et les échanges culturels, dans le thème plus général « peuples et cultures ».

– Servir la création, amateur et professionnelle, des musiques et des cultures actuelles mais plus encore, chercher les expérimentations dans les performances artistiques.

– Développer les liens intergénérationnels dans ce lieu de transmission et d’éducation populaire, grâce à la proximité du service jeunesse sur le site et de ses équipements « urban park » : skate park, graff park et spot hip-hop.

– Faciliter l’accès des publics et de toute la filière musicale, pour être un outil structurant au service de la chaine de production locale, ressource partenariale essentielle du projet, comprenant : les artistes, la vie associative, les producteurs locaux de tournées, les festivals, les développeurs d’artistes, les médias…

A partir de ces « valeurs cadres », le projet culturel explore les contours des Musiques Actuelles dans le paysage des cultures urbaines.

 

 

 

 

 

 

 

 

 


En effet, si la pratique de la glisse urbaine puise ses racines dans le surf californien des années 50 bercé par la musique des Beach Boys, elle trouve des revendications sociales communes avec les MA.

Dans le mouvement plus large et contestataire de la Beat Génération pour sa conduite alternative et sa marginalité, on recherche l’extrême et le contre-courant. Plus tard, le mouvement punk fera l’éloge du « Do It Yourself » qui permettra d’acheter sa première planche comme sa première guitare, c’est-à-dire sans véritablement savoir s’en servir au départ !

Ce n’est donc pas un hasard si ces pratiques urbaines (musiques, sports de glisse, graffs…) révèlent un goût prononcé pour les friches industrielles, terrain de jeu privilégié pour l’expression d’une rébellion, la recherche de liberté et d’espaces d’expressions d’abord clandestins. Ces arts urbains sont finalement en quête permanente de reconnaissance tel un musée éphémère d’un art bien contemporain.


Facteur de cohésion sociale, le projet culturel se place au centre de gravité de ces pratiques très diverses (musiques, sports, danses, graffs…) pour les réunir au carrefour de l’action culturelle au service de performances interdisciplinaires.
Mais l’action culturelle, pose également la question des territoires, en observant finalement que « les cultures urbaines » se sont largement développées dans des lieux de proximités plus ruraux : locaux de répétitions en campagne, rampes de skates de village, cafés musique… Partant de ce constat, on ouvre la perspective d’un « décloisonnement social » au service d’un projet de territoires.

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